Obsession of twilight
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Obsession of twilight

Forum Rpg Twilight se déroulant six ans après la fin de Révélation
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 Jane Volturi ▬ Pauvre âme souillée par le crime, veux-tu goûter à la mort ?

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Jane Volturi
Admin
Jane Volturi


Messages : 101
Date d'inscription : 08/09/2012
Age : 29

Jane Volturi ▬ Pauvre âme souillée par le crime, veux-tu goûter à la mort ? Empty
MessageSujet: Jane Volturi ▬ Pauvre âme souillée par le crime, veux-tu goûter à la mort ?   Jane Volturi ▬ Pauvre âme souillée par le crime, veux-tu goûter à la mort ? Icon_minitimeSam 8 Sep - 12:12




« Jane Volturi »









Votre Personnage


    Nom : Volturi.
    Prénom : Jane.
    Age réel : Plus de huit cents ans.
    Age physique : 16 ou 17 ans.
    Caractère: Sadique, froide, sarcastique, violente, intelligente, dévouée, courageuse, sans pitié, mature, impulsive, colérique, séductrice, crainte.
    Groupe :Vampires sanguinaires.
    Don : Capacité à imposer des souffrances terribles qui mènent parfois à la mort, si je le désire.
    Avatar: Dakota Fanning.
    Logement? Château de Volterra.





Votre Histoire


    Petit village d'Angleterre, 1212. Un village sale et terne, réputée pour sa chasse aux sorcières. C'est là que mon frère jumeau Alec et moi sommes nés, le 21 septembre. Vous parler de nos cinq premières années serait difficile car nos parents ne sont plus là pour le raconter. J'ai vite compris que je n'avais aucun choix, qu'il fallait se montrer dure pour survivre dans un monde sans couleurs. Alec et moi avons été envoyés dans ce qu'on appellerait aujourd'hui un orphelinat mais qui était en fait un édifice religieux dans lequel on envoie les enfants pauvres dont personne ne veut. Un édifice religieux dans lequel on se bat pour manger, on se bat pour respirer, pour exister. Pourquoi y étions-nous ? Je ne sais plus. Peut-être qu'on a été abandonnés, peut-être que nos parents sont morts. J'en ai sans doute souffert au début, mais aujourd'hui ça ne me fait ni chaud ni froid. Un homme et une femme incapables de s'occuper de leurs propres enfants n'ont aucune raison de vivre. Mon frère et moi avons tout de suite trouvé notre place en prouvant aux autres enfants que nous n'avions aucunement l'intention de nous laisser marcher dessus. Aussi, nous fûmes ceux qui reçurent le plus de punitions et surtout les plus violentes. Je ne comptais même plus le nombre de coups de fouets que je recevais, pendant qu'Alec recevait le même traitement, à mes côtés. « Pour l'exemple » disaient les religieuses. La rage grandissait dans mon cœur, j'avais envie de les détruire tous, les faire souffrir les uns après les autres. Ils blessaient mon jumeau, ils lui faisaient du mal. Ils méritaient de mourir. De toute façon, ils n'étaient que des pions tant que je ne trouverais pas de moyen de nous sortir de là pour une vie meilleure.

    Les années passant, nous gagnâmes en liberté. Et quand on nous la refusait, on se moquait bien des interdictions. Nous n'avions besoin de personne, ensemble nous étions immortels. On avançait main dans la main dans les rues et plus rien n'avait d'importance. Nous découvrîmes le monde avec nos yeux d'enfants qui avaient grandis trop vite. Plus rien ne pouvait nous arrêter, sauf peut-être l'heure maximale à laquelle nous devions être à l'orphelinat le soir. Je me souviens avoir beaucoup idéalisé le monde extérieur avant de l'avoir sous les yeux, mais finalement la réalité m'avait rapidement rattrapée. Des infirmes et des vieillards crevant de faim rampaient dans la rue, tendant les mains aux passants dans l'espoir de pouvoir se nourrir avant la tombée de la nuit. Une odeur de chair carbonisée envahissait les rues, restes de femmes qu'on avait brûlé après les avoir accusé de sorcellerie. Les gens étaient laids, puaient, étaient injustes. Alors Alec et moi perdîmes toute foi en l'humanité et, par la même occasion, nos illusions sur la vie en général. Nous pensions que rien ne pourrait être pire, mais nous étions loin de vérité. Et chaque jour nous recommençâmes à déambuler parmi ces malades, parmi ces hommes riches qui ne donnent rien aux pauvres. Notre cœur s'endurcit lentement mais sûrement, jusqu'à n'être que deux pierres dures et froides que rien ne pouvait atteindre. Plus rien ne comptait à part lui, Alec, cet enfant brun aux délicieux yeux bleus dont j'essuyais le visage poussiéreux avec ma manche chaque soir, pour qu'il ne se fasse pas punir par les sœurs.

    Mais notre périple ne se compose pas seulement de promenades parmi ces gens qui ne servent à rien. Alec et moi fûmes accusés de sorcellerie, car notre comportement était fort étrange aux yeux de tous. Nos explications ne servirent à rien, nous eûmes beau les supplier, nous ne fûmes pas graciés. Nous allions être brûlés en fin de semaine, devant une foule de barbares avides de meurtres. On nous traîna hors de l'orphelinat en pleine nuit, par les bras, les cheveux, devant les visages soulagés des autres enfants. Nous fûmes enfermés dans un cachot sombre et humide, attendant notre punition pour un crime que nous n'avions pas commis. Je me mis alors à penser que si nous en avions vraiment été, des sorciers, nous aurions pu nous débarrasser de tout le monde et nous arions déjà regagné le surface du sol. J'exposai cette théorie au garde mais il ne voulut pas nous faire sortir. Alec et moi n'étions pas dans la même cellule mais j'avais quand même la place de passer mon bras pour pouvoir serrer sa main dans la mienne. C'était une façon désespérante de mourir, pour deux enfants de 15 ans. Mon jumeau me paraissait encore plus petit qu'auparavant et j'étais impuissante, incapable de sauver mon frère de la mort. Pourquoi n'étais-je pas plus forte que la mort ? Pourquoi ne pouvais-je pas la commander, même ? L'obliger à les tuer tous et le sauver lui ? Ma haine en autrui ne fit que grandir, ravageant mon cœur et mon esprit. J'étais littéralement en train de devenir folle, le désir de vengeance m'aveuglait et me détruisait petit à petit. Alors un matin on vint nous chercher et on nous arracha l'un à l'autre quand nos corps se pressèrent l'un contre l'autre une dernière fois avant d'être séparés à jamais. Les cris d'Alec paraissaient si loin, comme venus d'un autre monde. Ma tête tournait, j'avais la nausée. On nous fit monter sur le bûcher, les gens nous insultaient, souriant de façon allègre comme si notre mort allait changer quoi que ce soit à leur ridicule existence.

    Je crois que ce jour restera gravé dans ma mémoire pour l'éternité. Le visage terrifié d'Alec, son regard planté dans le mien. Et malgré sa peur il était courageux, refusant d'émettre le moindre bruit. Et pour l'éternité je serais la seule à avoir vu quelconque trace de peur sur ce magnifique visage. Je n'avais plus peur, je me sentais vide. Mon regard ne se détacha pas de mon frère jumeau, tandis que la fumée montait autour de nous. Les cris se firent impatients, sauvages. Mais je regardais Alec, je me moquais d'eux. Il n'y avait jamais eu de place pour quiconque d'autre, dans mon cœur. Je me demandai alors ce qu'en auraient pensé nos parents, si ils auraient été fiers de la façon dont j'avais tenté de m'occuper de lui et de sa façon à lui de s'occuper de moi malgré la fatalité qui avait eu raison de nous. J'avais fait tout mon possible pour le protéger des sœurs, des autres enfants, des mendiants qui le regardaient d'un air admiratif et voulaient à tout prix l'approcher. Le seul et unique but de mon enfance avait été sa protection. Les flammes nous léchèrent les jambes. La douleur était insoutenable, j'avais envie de hurler, mais j'étais bien trop fière. Alec avait réussi, je réussirais aussi. Et je serai forte dans ma mort, comme je l'avais été dans la vie. Ma vision se brouilla et, avant de perdre totalement connaissance, j'eus le temps de comprendre qu'il se passait quelque chose d'étrange, comme si tout ne s'était pas passé comme ils l'avaient espéré. Je souris, et sombrai.

    Qui sait combien de temps passa avant que j'ouvre de nouveau les yeux. Des jours entiers, des semaines peut-être. Je posai ma main sur ma poitrine et me rassis vivement, tentant d'inspirer de l'air. C'était inutile, car mon cœur ne battait plus. N'étais-je pas morte, dévorée par les flammes ? Mais si mon cœur ne battait plus, j'aurais du mourir. Sourcils froncés je m'approchai d'un pas mal assuré du miroir accroché sur le mur de pierre, de l'autre côté de la pièce. J'observai mon reflet avec surprise et dégout, puis avec intérêt. J'étais la même, mais j'avais énormément changé. Ma peau était pâle, mes yeux d'une couleur rouge sang, mes traits s'étaient affirmés, mes cheveux épaissis, j'étais devenue belle. Pour la première fois de ma vie je fus réellement fière de la fille que j'avais devant les yeux. Mais mon bonheur fut de courte durée, car la faim s'empara de moi et je commençai à paniquer. Il n'y avait rien à manger dans la pièce et je me sentais horriblement mal. Tout mon corps était douloureux, je me pliai en deux en appelant à l'aide. Où étais-je, d'abord ? Je regardai autour de moi à toute vitesse et fus stupéfaite de constater que je voyais chaque détail beaucoup plus nettement qu'autrefois. Il ne faisait aucun doute que cette petite trace là, dans le coin, je n'aurais pas pu la voir en temps normal. Ni ce grain de poussière sur la commode de bois qui se trouvait sous la fenêtre. Alors on ouvrit la porte et je me retournai un peu trop rapidement à mon coup. Trois hommes entrèrent. Alec. Où était-il ? L'avaient-ils sauvé lui aussi ? Était-il en lieu sûr ? Je me jetai sur eux, les assommant de questions. Mais ils me repoussèrent avec une facilité déconcertante, avant de faire entrer une femme dans la chambre. L'un des trois s'avança et me montra où planter mes crocs. Je n'eus pas le temps de me demander de quels crocs il parlait que déjà je les enfonçai dans sa chair tendre. La femme eut un léger soubresaut mais ne chercha pas à se dégager. Je bus son sang délicieux jusqu'à la dernière goutte. Voilà ce que j'étais devenu : un vampire. Et j'allais pouvoir me venger de tous ceux qui avaient participé à notre mort.

    Au fond, Alec et moi avions plus de chance que nous ne l'aurions cru. Aro, Caïus et Marcus Volturi nous offrirent un toit et une place privilégiée dans leur garde rapprochée. Certes c'était plus par intérêt que par affection, mais ainsi nous ne craignions plus personne. Nous étions parmi les vampires les plus dangereux de la planète et nous avions enfin la place que nous méritions. Les années passèrent, Alec découvrit son don : il était capable d'ôter à ses victimes tout sentiment, toute sensation, leur faire perdre leurs repères et l'espoir qui les animait pour les transformer en coquilles vides manipulables, tandis que j'héritai du plus cruel qui soit : torturer mes victimes par la pensée. Je fus convaincue que nous n'avions pas ces dons par hasard, qu'ils avaient été façonnés pendant ces 15 années de malheur durant lesquelles nous avions tant souhaité pouvoir rendre la pareille à notre entourage. Aujourd'hui nous pouvions faire ce que nous voulions, personne à part Aro, Caïus et Marius n'osait se mettre en travers de notre chemin. Tout le monde connaissait les jumeaux Volturi, ceux qu'on avait voulu brûler sur un bûcher mais qui avaient survécu et étaient désormais invincibles. Ensemble, personne ne pouvait nous vaincre. Huit siècles passèrent, et des années, de longues années. Le monde changea autour de nous, nous connûmes guerres, maladies, révolutions techniques, nouvelles traditions, renouveau artistique et culturel ... Nous ne vivions plus en Angleterre mais à Volterra, une ville d'Italie gouvernée par notre belle famille composée uniquement de vampires buveurs de sang humain. Nous connûmes plusieurs années de tranquillité durant lesquelles il ne passa rien. Et puis l'arrivée d'Isabella Swann dans la partie fit pencher la balance : de nouveau, un peu d'action. J'étais la préférée d'Aro, je jouissais d'un statut privilégié. Lorsqu'il fallait partir en mission, j'étais toujours la première à être choisie. Mais notre histoire est loin d'être terminée et je compte bien continuer à l'écrire encore longtemps.







Vous, derrière l'écran


    Pseudo/prénom: Justine ou Alehandra, mais on peut aussi m'appeler Josette.
    Âge:17 ans !
    Sexe: Féminin, je crois. Je dois vérifier.
    Double compte: Non pas encore xD
    Le code de présentation: Ok by Isabella.
    Où as tu connu le forum?: Vous me posez une colle ... Top-site ? Ah non, en cherchant un forum twilight sur google mon ami.



Revenir en haut Aller en bas
Isabella M. Cullen
Admin
Isabella M. Cullen


Messages : 41
Date d'inscription : 24/08/2012
Age : 32

Jane Volturi ▬ Pauvre âme souillée par le crime, veux-tu goûter à la mort ? Empty
MessageSujet: Re: Jane Volturi ▬ Pauvre âme souillée par le crime, veux-tu goûter à la mort ?   Jane Volturi ▬ Pauvre âme souillée par le crime, veux-tu goûter à la mort ? Icon_minitimeDim 9 Sep - 16:54

Félicitations Jane!
Tu fait à présent partie de Obsession of Twilight.
Bienvenue à toi, tu peux faire ta fiche de liens et de Rp mais si tu veux, tu peux déjà Rp. (:
Revenir en haut Aller en bas
https://obsessionoftwilight.actifforum.com
 
Jane Volturi ▬ Pauvre âme souillée par le crime, veux-tu goûter à la mort ?
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Jane Volturi ▬ Souffrance.
» Les Volturi [12/13]
» Demetri Volturi, garde et excellent traqueur
» Jane & Demetri Ҩ bleeding darkness.
» J'ai des cookies saveur cerfs, tu veux être mon ami? Non je blague ! (ou pas)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Obsession of twilight  :: Pour mieux vous connaître :: Présentations :: Présentations validées-
Sauter vers: